Commentaire
"En un clin d'oeil, un coup de fil, tout bascule. La porte s'ouvre.
Cinq personnes pénètrent et, calmement,
s'activent autour de moi.
Des regards se croisent, des questions fusent
face à mon corps allongé sur un brancard,
entouré du Samu qui m'emmène.
Lhôpital : les visages se cachent derrière des masques.
Une voix me dit : "C'est gravissime, monsieur,
nous allons vous endormir."
Vision des ampoules au plafond qui défilent
à toute allure au-dessus de moi.
Et le noir, un sommeil (coma artificiel) de deux mois."