Commentaire
l'illusion du présent permanent des corps. Telle que l'animal nous l'offre, parfois : un mouve¬ment qui se donne l'air d'ignorer la mort, pure immédiateté, semblant d'innocence. La "divine turbulence".
Et nous danseurs, saltimbanques chargés de faire croire à l'immortalité du corps tout en éprouvant au jour le jour l'usure de ce dernier et l'acuité de la finitude.
Il ne m'a pas déplu d'être cette saltimbanque.